Cette année encore, plusieurs milliers de postes ont été supprimés. Et qu'entends-je récemment sur la route de mon école ?
Une réprésentante de l'enseignement privé qui râlait contre les suppressions (normal, faudrait quand même pas qu'ils se mettent à payer leurs profs dans le privé !) et qui menaçait d'augmenter les effectifs par classe à 35 élèves ou de purement fermer des établissements. Bonne nouvelle me direz-vous ?
C'est ce que j'ai pensé en premier lieu, mais subodorant une manoeuvre électorale de l'UMP, j'ai réalisé que le principe de parité des supressions de postes ne serait pas respecté. En gros, par rapport aux effectifs globaux, on supprime plus dans le public que dans le privé.
Un pur hasard, je suis sûr.